lundi 30 mai 2022

Maniema: Afani Idrissa Mangala remercie tous ceux qui l’ont accompagné dans la gestion de la province et demande pardon à "tout le monde"


Afani Idrissa Mangala vient de totaliser ce lundi 30 mai 2022, une année depuis sa notification comme gouverneur ai par le Vice-premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité.

Dans une communication à la presse du gouvernorat, ce lundi 30 mai 2022, le gouverneur ad intérim Afani Idrissa Mangala tient à remercier la population du Maniema, l’assemblée provinciale, la société civile, l’exécutif provincial qui ont accepté de l’accompagner pendant ce moment dur de la gestion de la province. 

Pour ce faire, le chef de l’exécutif a profité de cette journée marquant le premier anniversaire depuis sa prise de fonction de gouverneur, à demander « pardon à tout le monde ».

« Je remercie beaucoup l’ensemble de la communauté. En ce qui concerne d’abord la population du Maniema, les églises, les membres de la société civile, l’assemblée provinciale et l’exécutif provincial qui ont accepté de nous accompagner dans cette gestion pendant cette période qui était une période tumultueuse. Ce que je demanderai à tout le monde c’est le pardon. Sans pardon on ne peut pas construire, sans pardon on ne peut pas vivre ensemble », a-t-il fait savoir.  

Pour rappel, Afani Idrissa Mangala assume l’intérim du gouverneur et vice-gouverneur destitués le vendredi 21 mai 2021 par l’assemblée provinciale du Maniema.

Morisho Tambwe 



Un an à la tête de province : « Nous avons hérité une province qui était dans une situation politique marquée par la bipolarisation » (Afani Idrissa Mangala)



Afani Idrissa Mangala vient de totaliser ce lundi 30 mai 2022, une année depuis sa notification comme gouverneur ai par le Vice-premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité.

Dans une communication à la presse du gouvernorat, ce lundi 30 mai 2022, le gouverneur ad intérim Afani Idrissa Mangala dit avoir trouvé la province dans un état de bipolarité marquée par la méfiance entre l’exécutif et l’organe délibérant.

Pour ce faire, poursuit-il, une politique de renonciation avait été initiative sous son initiative entre les fils du Maniema.

« Nous avons hérité une province qui était dans une situation politique marquée par la division, la bipolarisation. Mais moi j’avais dit que nous sommes tous fils du Maniema, nous avons l’obligation de nous réconcilier. C’est pourquoi lorsque j’ai pris la tête de la province, j’ai mené une politique de réconciliation entre filles et fils de la province du Maniema », a-t-il fait savoir.    

Dans la foulée, bon nombre de partis politiques actifs dans la province ont accepté d’adhérer à l’Union Sacrée, se félicite-t-il.

Pour rappel, Afani Idrissa Mangala assume l’intérim du gouverneur et vice-gouverneur destitués le vendredi 21 mai 2021 par l’assemblée provinciale du Maniema.

Morisho Tambwe 



Un an à la tête de province : « Je demanderai à tout celui qui viendra après moi de marquer son temps comme Idrissa a fait son temps » (Afani Idrissa Mangala)


Afani Idrissa Mangala vient de totaliser une année depuis sa notification comme gouverneur ai par le Vice-premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité.

Dans un entretien avec le service de communication du gouvernorat, Idrissa Mangala a plutôt jugé de positif le bilan des actions entreprises pour l’intérêt de la population et demande à celui qui viendra après lui de marquer son temps.

« Moi j’ai fait ce que j’ai fait et je ne suis pas le premier à être gouverneur et je ne serai pas le dernier à être gouverneur. Je demanderai à tout ce qui viendra après moi de marquer son temps comme Idrissa a fait son temps », a-t-il fait savoir.

Pour rappel, Afani Idrissa Mangala assume l’intérim du gouverneur Musafiri Nkola et vice-gouverneur Amadi Lubenga destitués le vendredi 21 mai 2021 par l’assemblée provinciale du Maniema.

Morisho Tambwe 


samedi 28 mai 2022

Guerre à l'Est : Matata Ponyo appelle les Congolais à la résistance et à la solidarité avec les FARDC


Dans un tweet consulté ce samedi 28 mai 2022, le candidat président de la République, Augustin Matata Ponyo appelle à la résistance du peuple congolais et à la solidarité avec les Forces armées de la République Démocratique du Congo, FARDC, qui font face à la nouvelle agression des rebelles du M23.


Le Sénateur Matata appelle en outre la communauté internationale à prendre des actions de grandes envergures en vue, dit-il, de stopper ce qu'il qualifie de la barbarie.

"La situation que traverse nos frères et sœurs dans le Nord Kivu est inacceptable. J'en appelle à une action d'nvergure de la communauté internationale pour stopper cette barbarie. J'exhorte mes compatriotes à la résistance et à la solidarité avec les FARDC pour la défense de la patrie", lance-t-il.

Bien avant, son parti politique Leadership et Gouvernance pour le Développement, LGD, a, par le biais de son Secrétaire national, Franklin Tshamala Manyiku, fustigé l'inefficacité de la coopération régionale et la duplicité des puissances de la sous-région des grands lacs.

Pour rappel, le M23 ont réussi à occuper quelques localités de la province du Nord Kivu avant d'être délogé par les forces loyalistes qui contrôlent les positions jadis occupées par ces rebelles accusés d'être soutenus par le Rwanda qui nie les allégations de Kinshasa.

En mesure de représailles, le gouvernement congolais a suspendu le trafic sur le sol congolais de la compagnie nationale Rwandair. 

Morisho Tambwe




jeudi 26 mai 2022

Élection 2023: Les cartes des membres du parti politique de Matata seront prêtes dès juin prochain

L'impression de cartes de membres pour les adhérents du parti politique Leadership et Gouvernance pour le Développement, LGD, est fixée au mois juin prochain.

Dans un tweet daté de ce jeudi 26 mai 2022, le parti cher au professeur Matata Ponyo Mapon assure tous les adhérents que l'opération adhésion se poursuit normalement.


Pour rappel, le LGD de Matata Ponyo avait décidé, lors que son premier congrès de porter cet ancien premier ministre congolais comme candidat lors des élections de 2023.

Pour le géniteur du parti, l'engouement est total, son parti connait une adhésion "spectaculaire" seulement dans ses premiers jours d'existence.

Morisho Tambwe 

dimanche 22 mai 2022

Géopolitique des forêts du Maniema: 2 journalistes alertent sur la surexploitation du Mufula à Kasongo et à Kibombo

 

Photo de tiers


Deux journalistes du Maniema, à savoir Modeste Shabani et Grâce Mbambi viennent de rendre public le résultat d'une mission de sensibilisation sur la protection biodiversité  au Maniema, particulièrement dans les territoires de Kasongo et de Kibombo, au sud de la province.


Ces travaux ont été appuyés par Rainforest journalism fund, RJF, et Pulitzer Center. Dans leur constat, ces 2 journalistes ont déploré la surexploitation, souvent clandestine, d'une essence appelée localement Mufula dans les territoires précités.  


Située au centre-Est de la République Démocratique du Congo, la province du Maniema constitue la 4eme réserve forestière du pays après les provinces de l’Equateur, la Tshopo et du Bandundu.

Avec une superficie totale de 7 951 km2, la foret du Maniema regorge plusieurs types d’essence dont le plus connu et le plus exploité est le (clorophora) localement connu sous le nom de  Mufula qui sert de fabrication de meubles et de construction de maisons.

 

Cette essence dont l’accroissement annuel est de 0,5 cm est aujourd’hui surexploitée dans tous les 7 territoires du Maniema, principalement les territoires de Kibombo et de Kasongo, selon le dernier rapport de la Division Provinciale de l’Environnement du Maniema.       

 

Les dégâts de cette surexploitation sont écologiques avec une diminution de la biodiversité mais les conséquences sont aussi économiques avec la perte de plusieurs milliers de dollars chaque semaine dans les caisses de l’Etat étant donné que l’exploitation échappe au contrôle du pouvoir public.

 

Sur terrain, même les communautés locales ne tirent aucun profit de cette surexploitation car les exploitants souvent clandestins, acheminent leurs dividendes vers les provinces voisines, comme le Sud-Kivu et le Haut Katanga.

 

Devant cette exploitation criminelle et incontrôlée, l’essence Mufula est entrain de disparaitre complètement des forets de la province du Maniema. Le risque est que cette essence soit méconnue par les générations futures.

Ainsi, il y’a 50 ans passés, il fallait parcourir juste quelques mètres pour trouver un Mufula derrière les villages, mais aujourd’hui, il faut parcourir au moins 15km pour trouver les rares Mufula  qui ont survécu au carnage des exploitants forestiers du Maniema.

 

Pour essayer d’atténuer ce dégât, Angali SALUMU, membre de l’ONG Vert qui milite pour la protection de la biodiversité tente de planter quelques Mufula dans son jardin situé dans le territoire de Kasongo, mais son activité n’est pas soutenue par l’Etat congolais.

 

Le gouvernement central et provincial et les services étatiques œuvrant dans le secteur de l’environnement  sont appelés à soutenir les efforts des organisations de la société civile dans la sauvegarde de l’essence MUFULA, au besoin, à encourager son renouvellement par l’agro foresterie vu ses multiples recettes.

Le Mufula est un symbole du pouvoir, il sert dans la médicine traditionnelle. Par ailleurs, son bois dur est de bonne qualité pour la fabrication de meubles. Hélas, sa surexploitation dans la province du Maniema en général et particulièrement dans les territoires de Kibombo et Kasongo tend à la faire disparaitre.  


Par Grâce Mbambi et Modeste Shabani

 

mardi 17 mai 2022

Dossier Bukanga Lonzo : Voici la pullule amère qui fait agiter l’IGF (Edito)

 



Après une série de publications sur les medias et dans les réseaux sociaux ; après une série d’accusations, sans la moindre preuve du détournement présumé de plus de 200 millions $ par Sénateur Augustin Matata Ponyo Mapon, montant alloué au projet du parc agro-industriel de Bukanga Lonzo ; après que la Cour Constitutionnelle s’était déclarée incompétente de poursuivre un ancien premier Ministre, Matata n’est pas trop exigeant à l’égard de l’Inspection Générale des Finances et du Procureur Général près la Cour Constitutionnelle.

 

En effet, pour ce premier ministre honoraire de la République Démocratique du Congo qui clame toujours son innocence, s’il était en face des institutions crédibles, dit-il le week-end passé dans une interview accordée à la Radio France Internationale, RFI, il allait recevoir des mea-culpa de la part de l’IGF et du procureur Général près la Cour Constitutionnelle.  

 

« Quand on dit de quelqu’un responsable intellectuel, ce qu’on est incapable de prouver qu’il a détourné 1 $. Deuxièmement, quand on parle de détournement de 200 millions $, lorsqu’on demande à la banque centrale combien elle a décaissé, le montant est loin d’atteindre les 200 millions $. Donc ça veut dire en d’autres termes ce sont des chiffres qu’on a fabriqués dans le but de nuire » a-t-il déploré.

 

Et de poursuivre : « Le parc agro industriel était géré dans le cadre d’un partenariat public privé entre le gouvernement congolais et une entreprise sud-africaine spécialisée dans la matière agricole. Et le responsable de cette entreprise a dit clairement lors d’une interview publique en RDC qu’il n’a jamais remis 1 $ à monsieur Matata que ce soit directement ou indirectement ! Donc en principe, si j’étais en face des institutions crédibles, mais je devrais recevoir des excuses et à la fois de l’inspecteur général des Finances et du procureur général près la cour constitutionnelle » a-t-il déclaré.

 

En réaction, l’IGF, a, dans un communiqué de presse daté du 16 mai 2022 et relayé par certains medias locaux, sans la RFI où la demande d’excuse avait été formulée, refusé les présenter et se dit attendre l’analyse de fond du  dossier Bukanga Lonzo, sans préciser dans quelle autre juridiction cette analyse de fond se ferait, puis qu’on le sait l’Inspection Générale des Finances aurait commencé par saisir la Cour de Cassation qui avait transmis le dossier pour compétence à la Cour Constitutionnelle qui, à son tour, s’était déclarée incompétente, peut-on le rappeler. L’IGF a-t-elle une autre juridiction ?

 

« L’Inspection Générale des Finances n’a, par conséquent, aucune excuse à présenter et reste convaincue que l’analyse de ce dossier quant au fond ne pourra que confirmer la responsabilité personnelle, pleine et entière de Monsieur Matata Ponyo dans cette débâcle », se défend-t-elle.

Mais l’opinion se pose la question de savoir qui en est le vrai auteur de la « débâcle » du parc agro-industriel de Bukanga Lonzo. Par ailleurs, le vocable de débâcle selon le dictionnaire en ligne larousse.fr veut dire « chute d’une entreprise, d’une affaire, etc. ; faillite ».

 

En avril 2021, le député national Ados Ndombasi avait alerté, au terme d’une mission parlementaire menée avec 4 autres élus nationaux dans le parc agro industriel de Bukanga Lonzo que plus de 150 hectares de maïs à récolter en urgence soit 60.000 tonnes, sont en total abandon au parc de Bukanga Lonzo par manque de financement du gouvernement pour leur récolte et leur évacuation vers les centres de consommation.

 

Peut-on réellement parler d’une débâcle d’un parc agro-industriel qui continue à produire jusqu’en 2021, plus de 5 ans après le départ de Matata de la primature, une quantité de maïs estimée à 60 000 tonnes par les élus du peuple? Qu’avait fait l’IGF pour faciliter l’évacuation de cette récolte abandonnée vers les centres de consommations ? Pourquoi aller chercher d’autres récoltes à Kanyama Kasese  alors que celles abondantes du  Bukanga Lonzo étaient abandonnées ?

 

Alire 7SUR7.CD Bukanga Lonzo : 60.000 tonnes de maïs à l'abandon faute des moyens pour les évacuer vers les centres de consommation (Ados Ndombasi)

 

Si le vocable débâcle signifie faillite, l’opinion publique peut encore se poser la question de savoir qui a stoppé le financement en  2017 du Parc Agro-Industriel de Bukanga Lonzo ?

 

A en croire la radio okapi, c’est le ministère des Finances qui avait arrêté le financement de ce méga projet. « Le mécanisme de financement du projet Bukanga Lonzo a été ralenti en 2016, puis stoppé en 2017 par le ministère de finances » peut-on lire.  Qui était chef du gouvernement à cette époque ?

 

A lire la radio Okapi RDC : le manque de financement à la base de l'arrêt du projet Bukanga Lonzo depuis 3 ans

 

Toutefois, l’Inspection Générale des Finances reconnait avoir été saisi par Matata Ponyo pour enquêter sur les allégations de détournement du projet du parc agro-industriel de Bukanga Lonzo.

 

« Cette mission de contrôle avait été demandée par l’ancien premier Ministre Matata Ponyo lui-même et non une quelconque autorité politique ou judicaire pour être qualifié par lui d’acharnement », peut-on lire dans le communiqué de presse signé par un attaché de presse anonyme.

Si pour l’IGF l’acharnement politico-judiciaire n’existe pas, pourquoi elle qui reconnait avoir reçu le mandat du Sénateur Matata d’aller enquêter sur ce parc, lui avait refusé tout accès sur rapport d’enquête dont certains médias en avait fait des publications abondante et en toute exclusivité ?

 

Pour rappel, le dossier Bunkanga Lonzo dont la population congolaise en a tant attendu parlé des vérités et contre-vérités est aujourd’hui clos par la Cour Constitutionnelle qui s’était déclarée, le 15 novembre 2021, incompétente  de juger un ancien premier Ministre et, à ce jour Matata Ponyo n’a aucun dossier en fixation devant aucune juridiction du pays, mais il est privé de tout mouvement en dehors du pays sauf dans  la ville province de Kinshasa dont il a toujours dénonce un emprisonnement à « ciel ouvert ».

 

La Rédaction

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

dimanche 15 mai 2022

Un cahier des charges des autorités coutumières à Matata Ponyo Mapon.


Quelle est la place de l'autorité coutumière dans la vision de Matata Ponyo et de son parti ? Voilà le mobile qui a poussé les chefs coutumiers, réunis au sein du conseil panafricain des autorités traditionnelles et coutumières à faire le déplacement au siège du parti LGD. 

Ce dimanche 15 mai 2021, une délégation des autorités coutumières, membre de ce conseil, a échangé avec les responsables de ce parti.

Conduite par son coordonnateur national Majesté Mwana Mpunda Asani Karumbi, cette délégation est venue remettre leur cahier des charges auprès du Secrétaire Général du parti Franklin_Tshiamala, accompagné du Secrétaire Général Adjoint Buddy_Mukadi, en présence de plusieurs autres cadres du parti.

" De tous les mandats passés, depuis l'ère du maréchal Mobutu, l'autorité coutumière a toujours été négligée. Raison pour laquelle nous sommes venus déposer notre cahier des charges au président national du LGD et candidat national à la présidentielle Matata Ponyo Mapon, pour que ce dernier tienne compte dans sa vision de l'importance du pouvoir coutumier dans notre pays", a déclaré le coordonnateur national du conseil panafricain des autorités traditionnelles et coutumières, promettant un accompagnement sans faille du pouvoir coutumier aux côtés du LGD.

A la question de savoir pourquoi le choix du parti cher à Matata Ponyo Mapon, Majesté Mwana Mpunda Asani Karumbi a appelé les congolais à se souvenir de l'histoire.

Pour lui, Matata Ponyo a réalisé des résultats visibles et palpables qu'aucun autre premier ministre n'a pu réaliser depuis son départ de la primature.

 Cellule de communication 

vendredi 13 mai 2022

Pourquoi la presse tant nationale qu'internationale s'intéresse au candidat président Matata?




Après l'annonce de sa candidature par son parti, le LGD, il y a peu, l'ancien premier ministre congolais fait désormais la convoitise de la presse tant nationale qu'internationale.

Matata, a d'abord été l'invité chez Télé 50, une chaîne de télévision émettant depuis la capitale congolaise et présente sur canal plus où l'invité de Jean Marie Kasamba s'était montré confiant de lui-même et avait expliqué sa vision pour un autre Congo grâce à ce qu'il qualifie de binôme magique leadership-gouvernance.

Quelques jours après, c'est la très populaire Radio Onusienne qui s'intéresse au candidat président présenté par le parti politique, Leadership et  Gouvernance pour le veloppement, LGD. En effet, le professeur Matata Ponyo Mapon sera le  invité de la radio Okapi, comme nous rapporte ses services de communication.

A l'international, c'est TV 5 Monde qui ouvre la voie à Matata pour accorder un échange avec les professionnels de ce média du groupe France Média Monde.

La politique s'accompagne toujours de la communication, disent les spécialistes du secteur, car une Maxime dit:  "si vous ne communiquez pas de vous, quelqu'un d'autres peut mal communiquer de vous".

Rédaction



jeudi 12 mai 2022

Plus de 10 mille personnes ont visité le premier blog professionnel du Maniema en l'espace de 2 mois! Quel record!





Viepolitik  a mis en ligne son tout premier article le 23 février 2022. Du mois de mars à ce jour, soit 2 mois pleins, le site a connu plus de visites que son éditeur ne pouvait l'attendre. 

En effet, plus de 10 300 visiteurs ont lu et dont les uns nous ont laissé des commentaires  constructifs.

Merci pour la confiance placée à toute notre équipe qui travaille en toute indépendance d'esprit en vue de vous livrer des informations vraies, non-complaisantes et non-partisanes. 

Un merci particulier au journaliste de la radio Mali de Kindu Emmanuel Ndjadi qui nous a toujours donné des remarques positives pour une charte graphique du site adaptée à toute la technologie.  

Nous visons grand et avec vous, nous irons loin. Notre spécialité, c'est la politique, les actions politiques et les œuvres de politiques du Maniema; d'autres thématiques nous intéressent le moins.


Rédaction
0976687703


Matata Ponyo a mis en place l'équipe dirigeante de son parti politique LGD






dimanche 8 mai 2022

Maniema : Kishabongo victime d'un lynchage sur les réseaux sociaux (proches)



A peine être élu gouverneur, le 06 mai 2022, Kindanda Kishabongo Hubert est victime d'un lynchage sur les réseaux sociaux par un groupe des gens identités qui affirme que le gouverneur élu est un membre effectif du front commun pour le Congo, FCC, de Joseph Kabila alors qu'il vient de se faire élire pour le compte de l'Union Sacrée de la nation.

L'information a été livrée ce dimanche 8 mai 2022, à la presse par maître David Bushiri qui regrette cette attitude rétrograde et promet de saisir la justice en cas de récidive.

"C'est avec regret que nous constatons une diabolisation dans les réseaux sociaux contre le Gouverneur massivement élu Hubert Kindanda Kishabongo Radjabu. Un réseau mafieux, des frustrés, des personnes bien connues et mal intensionnées (sont à l'origine de ça ndlr). Son appartenance à l'Union Sacrée n'est plus à démontrer. Et tout ce qui se dit autour de lui n'est que l'œuvre des personnes mal intensionnées et en marge de positionnement" a dit Maître David Bushiri.

Pour rappel, tous les 22 députés provinciaux du Maniema s'étaient publiquement déclarés  avoir adhéré à l'Union Sacrée. Le premier test a consisté à voter le ticket présenté par cette plateforme politique du président de la la République, Félix Antoine Tshisekedi.

Morisho Tambwe

vendredi 6 mai 2022

Kindanda Kishabongo succède à Augustin Musafiri


Le député rélu de Kasongo Hubert Kindanda Kishabongo est élu gouverneur avec 18 voix sur le 22 votants.

Ainsi, il vient de succéder à Musafiri Nikola destitué par l'organe délibérant du Maniema le 21 mai 2021.

Morisho Tambwe 

mercredi 4 mai 2022

Adhérer en ligne au parti de Matata et consulter tous les documents, comme statuts, règlement intérieur, vision



Juste après la sortie officielle du parti politique, Leadership et Gouvernance pour le développement, LGD le mardi 3 mai 2022, la demande d'adhésion est en croissance.

Pour palier cette situation, le parti qui a porté le Sénateur Matata Ponyo Mapon comme son candidat président à l'élection de 2023, a mis en place une application facile à utiliser afin de permettre aux potentiels membres d'y adhérer.


En effet, il suffit d'un simple clic ici et le lien vous ramener à l'endroit dédié. Là, on y trouve un court formulaire d'adhésion, les statuts du parti, sa vision ainsi que son règlement intérieur.


Cellule de communication 

dimanche 1 mai 2022

Election-Maniema : « Chez nous à l’AFDC on est discipliné et on suit le mot d'ordre » (Jean-Pierre Amadi Lubenga)



L’ancien Vice-gouverneur, Jean-Pierre Amadi Lubenga séjourne à Kindu depuis ce dimanche premier mai 2022 en provenance de Lumbumbashi.

Au aussitôt arrivé, l’élu de Kasongo a tenu un point de presse, qualifié de « sans tabou » au cours de laquelle il était permis aux professionnels de médias de Kindu de lui poser tout genre des questions même celles liées à sa vie privée.

S’agissant des enjeux électoraux, Amadi Lubenga a rappelé que le vote a toujours un caractère secret et il sera maladroit d’estimer que, comme élu de Kasongo, il doit absolument se pencher sur tel ou tel autre candidat alors qu’il a reçu un mandat provincial.

« Entant qu’électeur, entant que député provincial, je voudrais vous dire et que vous puissiez le retenir une fois pour toute. Le vote est un acte secret. Vous êtes entrain de parler à un politique avéré, vous parlez vraiment de: "à qui" je pourrais donner ma voix entant électeur alors que même les candidats eux-mêmes n’ont pas encore battu campagne. Toutefois vous devez retenir que parmi les candidats, parce que l’intervenant de toute à l’heure a voulu limiter mon choix par rapport aux candidats gouverneurs de Kasongo. Je suis un député provincial et les élections ici ont un caractère provincial. Il fallait me parler peut-être de tous les candidats qui sont en lice » a dit Jean-Pierre Amadi Lubenga.

Et d’enchérir : « Je ne suis pas un Amadi à réduire uniquement à sa circonscription électorale. Il est vrai que c’est ça même ma base politique, je salue en passant la population de ce territoire-là qui m’a accordé sa confiance pour m’amener à l’Hémicycle. Là aussi parce que vous aviez posé la question, n’oubliez pas que parmi les candidats, il y a un ticket au sein duquel il y a un candidat vice-gouverneur désigné par mon parti l’AFDC, mais le moment venu nous allons parler, parce que chez nous à l’AFDC on est discipliné et on suis le mot d’ordre ».

En outre, l’élu de Kasongo a insisté sur la sécurisation des élections de ce 06 mai 2022, et ce, dans ses trois moments clés. Selon lui, il appartient à l’organisateur de ces élections de s’en occuper dans les 2 premières phases.

« La sécurisation de l’élection des gouverneur et vice-gouverneur doit se dérouler dans 3 étapes. Avant qu’il ait élection, on doit procéder à la sécurisation de celle-ci. Pendant l’élection il y a lieu aussi de sécuriser cette élection. Les 2 premières étapes ne me concernent pas moi entant qu’électeur parce que je ne suis pas l’organe organisateur de ces élections. L’étape qui me concerne est que, je ne veux pas qu’on donner la moindre chance à une certaine contestation de résultats, le Maniema a besoin d’un gouverneur élu » a-t-il rappelé.

Pour rappel, l’élection des gouverneur et vice-gouverneur aura lieu le 06 mai 2022 dont la campagne démarre le lundi 02 mai 2022 avec comme le premier candidat, Prosper TUNDA Kasongo, du regroupement ATIC.

Morisho Tambwe



   


Élection du gouverneur au Maniema : une consultation annoncée à Kinshasa

Des sources concordantes révèlent qu'une consultation d'un jour sera bientôt convoquée et réunira les notables de la province du Man...